mercredi 28 mars 2018

eL Seed - Quai d'Austerlitz, Paris 13



Paris, août 2013 (immeuble détruit)

En 2013, eL Seed a peint une des façades de la Tour Paris 13. Celle-ci faisait 30 mètres de haut et 10 mètres de large. Il y a réalisé une calligraphie inspirée d'un poème de Baudelaire qui dit que la forme de la ville change plus vite que le corps de l'homme. "Peindre une calligraphie en arabe inspirée d'un poème de Baudelaire, c'est un moyen pour moi de montrer que j'arrive à créer ce lien entre mes deux cultures". eL Seed
Source : streetart13.fr

lundi 26 mars 2018

INTI "La Madre Secular 2" - Boulevard Vincent Auriol, Paris 13


Paris, février 2018

"La Madre Secular 2" est une représentation laïque de la Madone. Le sacré s'invite pour démontrer que les lois de la Nature et celles de la Religion peuvent parfois cohabiter. La pomme de Newton remplace celle de la bible comme une allégorie à l'ère de la connaissance et du scepticisme.
Source : streeart13.fr

jeudi 22 mars 2018

SETH - Paris 13

Paris, février 2018

L'artiste Globe Trotteur a peint sa fresque sur le boulevard Vincent Auriol en Septembre 2016. Elle représente un jeune garçon sur la pointe des pieds qui regarde de l'autre côté d'un vortex aux multiples couleurs. Il fait appel à notre imagination pour deviner ce qu'il y voit.
Source : streertart13.fr

mardi 20 mars 2018

D*Face "Love won’t tear us apart" - Paris 13

Paris, février 2018

La fresque « Love won’t tear us apart » représente un homme défiguré et une femme qui s'enlace. Il s'agit des effets positifs de l’amour. L’homme défiguré représente les personnes que l'on a aimées qui ne sont plus dans nos vies, mais qui continuent de vivre à travers notre mémoire. Le sujet n'est pas la perte d’un être aimé mais son souvenir. Selon D*face, il est important que le public se fasse sa propre interprétation de son œuvre, car souvent leur imagination créée des explications bien plus intéressantes que la sienne.
Source : streetart13.fr

dimanche 18 mars 2018

DAVID DE LA MANO - Rue Jenner, Paris 13e

Paris, février 2018

Les fresques que David de la Mano a réalisées conduisent le spectateur à se questionner et chercher sa propre interprétation. Une oeuvre poétique, pleine de détails oniriques et surréalistes. On y retrouve des personnages aux têtes animales ou aux corps changés en racines. 
Source : streetart13.fr

vendredi 16 mars 2018

CONOR HARRINGTON "Etreinte et lutte" - Boulevard Vincent Auriol, Paris 13

Paris, février 2018

Conor Harrington a peint, en mars 2017, la façade de l’immeuble du 85 boulevard Vincent Auriol, juste à côté de la fresque d’Inti. Cet artiste irlandais, installé à Londres depuis plusieurs années, est connu pour ses oeuvres qui associent la peinture classique avec des codes urbains et contemporains. 
Pour Street Art 13, il a décidé de représenter deux personnages face à face, presque statiques. Il laisse le spectateur libre d'interpréter la nature de leur échange : conflictuel ou amical.
Source : streetart13.fr

mercredi 14 mars 2018

SHEPARD FAIREY "Liberté, Egalité, Fraternité" - Boulevard Vincent Auriol, Paris 13

Paris 13, février 2018

Shepard Fairey a réalisé la Fresque “Liberté, Egalité, Fraternité” en juin dernier, lors de son passage à Paris. Le visuel s'inspire de l’affiche que l'artiste avait réalisé après les attentats du 13 novembre, en hommage aux victimes. Le portrait de cette Mariane est en fait un détournement d'une image plus ancienne nommée "Make Art Not War" (faites de l’art pas la guerre en français). 
Source : streetart13.fr

lundi 12 mars 2018

SHEPARD FAIREY “Rise Above Rebel” - Boulevard Vincent Auriol, Paris 13e



Paris, juillet 2014

Cette oeuvre a été terminée le 17 juin 2012, après 3 jours de travail, à l’aide de 3 assistants et de 2 grues nacelles. Cette fresque gigantesque de 40 mètres de haut était la plus grande fresque qu’il avait réalisée. “Je suis vraiment fier de ce mur, car le métro passe juste devant, donc chacun pourra le voir et c’est ce que chaque street artiste recherche : la meilleure visibilité pour son oeuvre. J’ai choisi pour sujet cette femme que j’ai appelée “Rise Above Rebel”, une femme victime de l'oppression qui résiste et la dépasse. Un symbole fort pour le peuple”. Shepard Fairey
Source : streetart13.fr

samedi 10 mars 2018

C215 "Le chat" - Angle du boulevard Vincent Auriol et de la rue Nationale, Paris 13e


Paris, juillet 2014

"C'est à Paris que j'ai vu mon premier graffiti. Nous y venions en voiture avec mes parents lorsque j'étais enfant, pour nous rendre le plus souvent aux puces de Clignancourt. C'est ensuite que la passion du graffiti m'est venue, vers mes 14 ans. À l'époque, il n'y avait alors ni internet ni fanzines et, bien sûr, je n'avais pas de photos de ces graffitis. C'est donc avec le souvenir imprécis de ces dessins que j'entrepris, sous influence, de faire les miens. C'était en 1989 à Orléans. En 2010, je fus arrêté pour vandalisme, puis jugé. J'eus le plaisir d'entendre un procureur s'improviser critique d'art, tenant mon premier livre en main, et me promettant, faisant fi du passé, un bel avenir. En 2013, j'ai peint un mur de vingt-cinq mètres de haut représentant un chat à la station de métro Nationale à Paris. Je suis très fier que mon parcours s'inscrive dans l'histoire du graffiti et de l'art urbain de cette capitale". (propos tirés du livre La monographie de C215 aux éditions Albin Michel)
Source : streetart13.fr

jeudi 8 mars 2018

PANTONIO - Croisement du boulevard Vincent Auriol et de la rue Jenner, Paris 13




Paris, juillet 2014 (mur détruit).

En 2014, Pantonio a peint une fresque au croisement du boulevard Vincent Auriol et de la rue Jenner. Il y représente des lapins en négatif qui se mêlent entre eux. On reconnaît aisément le style de Pantonio par cette multitude de lignes souples et par l'utilisation de ses couleurs noire et bleue.
Source : streetart13.fr

mardi 6 mars 2018

C215 - Boulevard Vincent Auriol, Paris 13




Paris, juillet 2014 (mur détruit).

En 2011, l'artiste français C215 a peint sur le mur de l'école Cité Dorée situé sur le boulevard Vincent Auriol. Une jeune fille soufflant dans sa main qui laisse s'envoler une plume et dans son sillon, une multitude de couleurs.
Source : streetart13.fr

dimanche 4 mars 2018

Paris15, rue de Lourmel (11/02/2018)

Depuis quelques jours, ce vélo partagé prend racine...
A moins que ce soit la version écolo ou camouflage du géant chinois Mobike nouvellement implanté à Paris.